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jeudi, septembre 28, 2006

Banca Intesa/Credit Agricole : precisions à la demande de l'autorité boursière italienne

A la demande de la Consob, Banca Intesa fait savoir que des négociations avec le Credit Agricole sont en cours afin de déterminer les solutions les plus appropriées pour sauvegarder les intérêts stratégiques du Crédit Agricole sur le marché italien tout en respectant les intérêts de l'ensemble des autres actionnaires de Banca Intesa dans le cadre du projet de fusion entre le groupe Intesa et le groupe Sanpaolo IMI. Ces négociations incluent la cession de la Cassa di Risparmio di Parma e Piacenza (Cariparma), filiale d'Intesa.
Sur ce point spécifique, une rencontre a eu lieu aujourd'hui entre le président du Crédit Agricole et celui de la Fondazione Cariparma qui a permis de définir les grandes lignes de l'avenir de la Cassa di Risparmio di Parma e Piacenza dans le contexte des relations actuelles entre Banca Intesa et Crédit Agricole
Le résultat des négociations sera révélé au marché en temps et heure.

Source : voila.fr
Mercredi 27 Septembre 2006 - 17:20

vendredi, septembre 22, 2006

CREDIT AGRICOLE : CARIPARMA EN CONTREPARTIE DE LA FUSION BANCA INTESA / SAN PAOLO IMI

Les négociations avancent entre le Credit Agricole et Banca Intesa. Selon "Les Echos", la banque verte devrait récupérer Cariparma, la caisse d'épargne de Parme, en contrepartie de sa dilution dans le nouvel ensemble formé par Banca Intesa et San Paolo IMI.
Cariparma dispose d'un réseau de 310 agences situé en Emilie Romagne. D'après le quotidien financier, la direction de Cariparma ne serait pas hostile à son absorption par le Crédit Agricole à condition qu'il dispose d'un "plan industriel satisfaisant". Le groupe mutualiste devrait cependant monnayer plus cher son soutien au projet de Banca Intesa. Il lorgnerait sur 300 agences supplémentaires de Banca Intesa dans le nord ouest de la Péninsule. La banque verte pourrait ainsi créer un réseau transalpin équivalent sinon plus important que celui dont dispose BNP Paribas depuis le rachat de BNL.
A suivre....

CAP au bord du conflit social...


Toutes les organisations syndicales représentatives de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Alpes-Provence, sauf une (......), quittent la table des négociations.

Après plus de 15 mois de négociations stériles sur la revalorisation des salaires, et face :
  • aux résultats financiers "exponentiels" de CAP,
  • à l'augmentation du coût de a vie,
  • à l'exigence de productivité et de rentabilité demandée aux salariés,
Les organisations syndicales désignées ci-dessus réaffirment leur demande "récurrente" de 30 points pour tous, non absorbables.

Les ultimes propositions de la Direction sur la rémunération, de plus en plus imprécises, ne répondent pas à notre attente.

Les Organisations Syndicales confortées par les résultats des élections, sont ouvertes à toutes propositions écrites qui intègrent leur revendication.

A défaut, nous reviendrons vers vous pour arêter la conduite à tenir.

Aix, le 20 septembre 2006




COMITE D'ENTREPRISE DU 19/09/06

Le nouveau CE a été mis en place avec l'élection de :

Jean Yves SALVAT (SUD) - Secrétaire
Claude JOUVE (SUD) - Secrétaire Adjoint
Patrice BOIVEC (SUD) - Trésorier
Michel REBOUL (SUD) - Trésorier Adjoint

Bien que n'ayant pas d'élus au CE, le SNECA CFE-CGC participera à toutes les séances du Comité d'Entreprise avec la présence d'un Représentant Syndical.
Nous serons aussi présents dans les Commissions telles que :
  • Economique et Financière avec Jérôme MAGNE DE LA CROIX,
  • Emploi avec Jean Louis VAREILLES,
  • Egalité professionnelle avec Bernard METRAL,
  • Formation Professionnelle et Mutuelle avec Serge LANTEAUME,
  • Oeuvres sociales avec Olivier CARRER.
Le fonctionnement du Comité d'Entreprise concerne tous les salariés car ils en sont les premiers bénéficiaires. Les élus ou représentants syndicaux se doivent de s'y investir (pour les élus, ne pas y participer nous parait irrespectueux de l'expression démocratique des salariés !!!).
Au SNECA CFE-CGC nous assumons nos responsabilités car nous nous sentons redevables envers tous ceux qui nous font confiance.
De plus le premier jeudi de chaque mois nous rendons compte de nos travaux à tous les adhérents et sympathisants qui veulent bien participer à nos Conseils Syndicaux.

jeudi, septembre 21, 2006

CONSEIL SYNDICAL DU 7/09/2006

Le jeudi 7 septembre 2006 à 18h s'est tenu le Conseil Syndical de la section SNECA CFE-CGC de CAP au siège social du CREDIT AGRICOLE ALPES PROVENCE
A l'ordre du jour :

ADHESIONS / DEMISSIONS
Le nombre d'adhérents est en progression de 25% en 8 mois.

TRESORERIE
Bernard METRAL est nommé trésorier de la section.

ELECTIONS PROFESSIONNELLES
Elles ont lieu cette semaine.
Notre document a été très apprécié

Jérôme MAGNE, Olivier CARRER et Bernard METRAL ont déjà été désignés pour le dépouillement du 15/09/06.

COMITE D'ENTREPRISE
Jérôme MAGNE DE LA CROIX sera présent en tant que Représentant Syndical lors du prochain CE

FORMATION « APPELS SORTANTS N° 4 »
Jérôme MAGNE fait un compte rendu de la réunion en intersyndicale (SNECA CFE-CGC, CFDT, SUD, CGT, FO, SNIACAM) à laquelle il a assisté le mardi 5 septembre 2006, sur ce sujet.
Il est à noter que les problèmes posés par les formations "Appels sortants N°4" ne doit pas être une préoccupation du CFTCAM.
Il donne lecture de l’ensemble des échanges de lotus entre le Secrétaire du CE, mandaté par l’intersyndicale et la DRH avec copie au Directeur Général .
La mise en place de ces formations n’ayant pas fait l’objet d’une consultation du CE, ni de la Commission Formation du CE, l’intersyndicale a informé la DRH que nous étions dans une situation de Délit d’Entrave.
Face à cette erreur de management social, la DRH convoque en urgence les Délégués Syndicaux lundi prochain (11/09/06).
Jérôme MAGNE DE LA CROIX est mandaté pour poser une question en préambule de la réunion du 11/09 : "Cette réunion est-elle un CE ou une simple réunion avec les organisations syndicales ?"

QUESTIONS DP
Nous en avons 6 pour la séance du 14/09/06.
Elles ont été adressée à la DRH par Olivier CARRER.

NEGOCIATIONS
- SALAIRE + REC
Nous sommes convaincus que nous pourrons aboutir sur les salaires en restant en intersyndicale. Le Conseil approuve la demande qui sera formulée par l'intersyndicale de 30 points pour tout le monde et après on discute de la REC (une déclaration en intersyndicale avec SNECA CFE-CGC, SUD, CFDT, FO, CGT et SNIACAM, est prête)
Il est a noter que les salaires ne doivent pas être une préoccupation de CFTCAM.

- FORMATION PROFESSIONNELLE : l’accord n’est toujours pas à la signature alors que les négociations sont terminées depuis Mars 2006 et la Direction a osé nous répondre en DP de juin qu’elle s’étonnait qu’aucune organisation syndicale n’ai signé cet accord. En juillet, Serge LANTEAUME s’est rendu à la DRH pour signer le dit accord. Le responsable du dossier étant en congés, il n'a pas été possible de signer l'accord et à ce jour, il n’est toujours pas disponible à la signature.

PLANNIFICATION REUNION
5/09/06 Réunion intersyndicale : Jérôme
14/09/06 Pré-dépouillement : Olivier
15/09/06 Dépouillement élections : Olivier, Jérôme et Bernard
11/09/06 Réunion DRH + Syndicats : Jérôme
21/09/06 Préparatoire CE : Jérôme
28/09/06 CE : Jérôme
14/09/06 DP : Olivier
20/09/06 Négociations : Jérôme + Olivier + Bernard

QUESTIONS DIVERSES
- Informations sur le SNECA NATIONAL et la CFE-CGC
- Dossier de procédure disciplinaire
- Démissions de l’entreprise : Jean Louis VAREILLES informe que 3 salariés viennent de démissionner car la DRH est dans l’incapacité de gérer de bons éléments.

Pour en savoir plus prenez contact avec vos Délégués Syndicaux où poser des questions sur ce site .

mercredi, septembre 20, 2006

CREDIT AGRICOLE RACHETE SES ACTIONS


Une information qui doit avoir une signification et qui est parue le 15/09/06 sur le site de boursier.com : "Le CREDIT AGRICOLE a déclaré à l'AMF avoir racheté entre le 7 et le 14 septembre 10.231.143 de ses propres actions. Le montant total de ces opérations s'élève à 323,177 millions d'Euros ce qui fait ressortir un prix moyen pondéré de 31,59 €".
Que peut-on en penser ?

dimanche, septembre 17, 2006

ELECTIONS PROFESSIONNELLES : le SNECA CFE-CGC effectue la plus forte progression...


Elections professionnelles : un grand merci à tous ceux qui nous ont apporté leurs voix…

Nous remercions celles et ceux qui ont largement soutenu par leur vote les candidats des listes du Syndicat National de l ‘Entreprise CREDIT AGRICOLE

Au Comité d'Entreprise:
Dans le collège 2 - Titulaires :
  • Résultats 2003 : 180 voix,
  • Résultats 2006 : 336 voix,
Le poids des listes SNECA CFE-CGC progresse de 4,4%

Dans le collège 3 - Titulaires :
  • Résultats 2003 : 116 voix,
  • Résultats 2006 : 156 voix

Le poids des listes SNECA CFE-CGC progresse de 3,5%

Nous félicitons nos élus aux Délégués du Personnel :

Olivier CARRER (RBP - Marseille Corderie)
Joseph AROUTO (AVP Animation Part. / Prof. - Site d’Avignon)

Nous constatons que vous êtes de plus en plus nombreux à soutenir l’action syndicale des militants du SNECA CFE-CGC. La progression significative de nos résultats par rapport à 2003 est un encouragement à la continuité de notre action dans un syndicalisme proche des salariés de CAP et de leurs préoccupations.

Nous invitons toutes celles et tous ceux qui nous ont largement soutenu à venir nous rejoindre en adhérant au SNECA CFE-CGC et à dialoguer avec nous sur notre WEBLOG.

La section syndicale se réunit le 1er jeudi de chaque mois à CAP à 18h00,
les sympathisants sont les bienvenus.

jeudi, septembre 14, 2006

La CFE-CGC : la voix des classes moyennes



Tous ceux qui, dans l’entreprise, gèrent, créent, innovent, managent, coordonnent...Tous ceux qui, dans la fonction publique, ont des responsabilités...
Il est temps d’agir sur les contraintes qui pèsent sur les catégories intermédiaires. La CFE-CGC propose :
1) Pour l’emploi
Elle préconise une exonération au moins partielle des charges pour les salaires intermédiaires. Aider les bas salaires est juste et nécessaire, mais il ne faut pas pour autant que la classe moyenne soit laissée pour compte, voire traitée en «vache à lait» des politiques de relance. Cette exonération est non seulement un acte de justice sociale mais aussi une mesure concrète de relance de l’emploi.
2) Pour le pouvoir d’achat de l’encadrement
Depuis 2002, grâce à ses enquêtes salaires (ESOPE), la CFE-CGC observe les variations du revenu du personnel d’encadrement. Elle demande l’instauration d’un Salaire minimum interprofessionnel plancher cadre (SMIP) au moins égal au plafond de la Sécurité sociale.
3) Pour de meilleures conditions de travail
Non seulement les classes moyennes subissent de plein fouet une perte de pouvoir d’achat mais la pression qui pèse sur elles est de plus en plus forte dans les entreprises : absence de reconnaissance, charges et rythmes de travail accrus pour l’encadrement, harcèlement érigé en mode de management... Ce stress, nous l’avons mesuré, quantifié et nous le voyons évoluer (Observatoire CFE-CGC du stress ; Baromètre stress, travaux du docteur Salengro...). La CFE-CGC ne cesse de rappeler ces conditions de travail au quotidien.
4) Pour la rénovation du dialogue social
Cette urgence à défendre les conditions de travail des classes moyennes, nécessite un nouvel espace de dialogue social, un véritable contre-pouvoir.
La CFE-CGC milite pour la concertation préalable entre le gouvernement et les partenaires sociaux avant toute réforme. Elle demande une définition claire de ce qui relève de l’autorité du gouvernement et de ce qui relève des partenaires sociaux.
Une action syndicale légitime et un dialogue social efficace ne peuvent exister que si les partenaires sociaux s’appuient sur des syndicats forts, basés sur une adhésion responsable. La CFE-CGC demande l’instauration du contrat d’engagement social pour faire entendre la voix des classes moyennes, tant du secteur privé que public.
septembre 2006

Salaires des cadres en 2005


L’enquête Salaires Esope 2006 qui porte sur l’année 2005 a été lancée en juillet 2006, et les résultats traités en septembre 2006. Les réponses proviennent d’un échantillon de 1 118 salariés : ingénieurs, cadres, techniciens, agents de maîtrise… qui représentent l’ensemble des secteurs d’activité sur le territoire national.
Niveau de rémunérations13 % de la population gagnent au plus 30K€ bruts et 45 %, entre 30 K€ et 50 K€ par an.
Évolution des rémunérations
Du côté des diminutions :
• 43 % du personnel d’encadrement ont vu leur rémunération stagner ou baisser (32 % ont constaté une stagnation, 11 % une baisse).
• Les diminutions de rémunérations ont touché moins de salariés en 2005 et ont été un peu moins fortes qu’en 2004 : 23 % des salariés ayant vu leur rémunération baisser en 2005 ont perdu plus de 5 % de leurs gains contre 25 % en 2004.
Du côté des augmentations :
• 57 % des personnes ayant répondu ont vu leur rémunération brute annuelle augmenter en 2005. C’est peu et c’est pourtant le meilleur niveau atteint depuis 2003 !
• En 2005, 39 % des personnels augmentés ont vu leur rémunération progresser de moins de 2 % et 47% de 2 à 5%.
• 2005, confirme le recul des augmentations individuelles et le poids plus important des augmentations collectives seules ou des augmentations mixtes : 36 % des salariés augmentés l’ont été individuellement (contre 40 % en 2004 et 55 % en 2003). Cette évolution se fait au profit des rémunérations mixtes qui représentent 31 % des augmentations (+3 points par rapport à 2004). 2005 enregistre par ailleurs une certaine stabilité de la hausse des rémunérations collectives (33 % contre 32 % en 2004).
• Enfin, comme l’an dernier, 10 % des salariés seulement ont bénéficié d’une promotion mais, dans 77 % des cas, elle n’a pas été synonyme d’augmentation salariale. 2005 enfonce le clou : salaire et mérite ne vont définitivement plus de paire !
Évolution du pouvoir d’achat
Plus de 6 cadres sur 10 ont dans les faits perdu du pouvoir d’achat en 2005. Au total, ce sont en effet 65,23 % des salariés de l’encadrement qui ont perdu du pouvoir d’achat en 2005 (43 % pour qui la rémunération a baissé ou stagné ; 22,23 % des personnes ont été augmentées mais à un niveau inférieur ou égal à l’inflation).La rémunération variable
Les entreprises maintiennent le cap en ce qui concerne la flexibilité de leur politique de rémunération. Plus de 6 cadres sur 10 (62 %, contre 68 % en 2004) ont perçu au moins un élément variable dans leur rémunération en 2005 !La prime constitue l’élément variable le plus souvent attribué puisque 77 % des salariés en ont reçu une en 2005. Seul 1 % du personnel d’encadrement a perçu des stock-options en 2005, un sacré coup porté aux idées reçues sur « les privilèges » des cadres !
Les salariés toujours mécontents de leur rémunération
Près d’un cadre sur deux se déclare mécontent de sa rémunération (49 %).
La situation est certes moins noire qu’en 2004, mais on espérait mieux à la vue des résultats macroéconomiques du pays et des entreprises du CAC 40. Les patrons français des dites entreprises ont touché un salaire moyen (hors stock-options donc) de 2,3 millions d’euros en 2005 ! Pour le personnel d’encadrement, il y a de quoi avoir un profond sentiment de malaise… D’autant plus que les prix eux ne cessent de s’envoler.
Les prix à la consommation ont augmenté de +2 % en 2005. Attention toutefois de ne pas se laisser berner par cette quasi-stabilité affichée de l’inflation, car certains postes de consommation courante ont vu leur prix monter en flèche et grèvent les budgets. L’an passé, les ménages ont consacré 24,7 % de leurs dépenses pour le poste logement, dont 18,1 % pour la seule location ! C’est un maximum historique ! Et cela n’est pas étonnant quand on sait que les prix des loyers a augmenté +4 % ! Pourtant, le poste logement ne pèse que 6,14 % dans le panier des biens et services servant à l’INSEE pour établir l’indice des prix à la consommation ! Dans le même domaine, les remboursements des crédits immobiliers absorbent plus de 11 % du revenu disponible des ménages.
Le prix des produits pétroliers a progressé de 15,3 %, celui du gaz de ville de +6,8 %. Le prix du super sans plomb a progressé de +10 %, pourtant sa consommation en volume n’a diminué que de -1,8 % ce qui prouve que ces dépenses deviennent incompressibles pour les ménages. Le fioul domestique bat un triste record +29,7 % en un an. La consommation de ce bien n’a pourtant chuté que de -1,4 %, parce qu’on atteint un seuil d’inélasticité au prix et que, quel qu’en soit le coût il faut bien se chauffer ! Ceci n’est pas sans conséquences sur le niveau de vie des ménages…
La léthargie salariale dans laquelle s’enfonce notre pays, la dégradation du niveau de vie du personnel d’encadrement dont le mécontentement se fait chaque jour plus pesant imposent de mieux rémunérer le travail.
Pour la CFE-CGC cela passe par l’instauration d’un SMIP (Salaire minimum interprofessionnel plancher) cadre au moins égal au plafond de la Sécurité sociale (2 589€/mois). Ce SMIP favoriserait le nécessaire redéploiement de la hiérarchie salariale et des perspectives de carrière des salariés les plus qualifiés qui fait aujourd’hui défaut. Il impulserait également une réorganisation des grilles de classification et leur adaptation à l’évolution des fonctions qui résultent des mutations de la technologie et de l’organisation du travail. Seule une politique salariale dynamique pourra redonner confiance aux membres de l’encadrement et servir de levier à la croissance et par là même à l’emploi.septembre 2006

BAROMETRE CADRE JUILLET 2006

Cliquer sur le lien pour visualiser :
http://www.cfecgc.org/TRANSFERT-LIVE/Documents/BaroCadreJuillet2006.pdf

CREDIT AGRICOLE : excellents résultats au premier semestre 2006



Résultats du 1er semestre 2006 (par rapport au 1er semestre 2005)
+ Résultat brut d'exploitation 3 177 millions d'euros (+ 42,4 %)
+ Résultat net part du Groupe 2 669 millions d'euros (+ 43,1 %)
+ ROE après impôts annualisé 19,0 %

Résultats du 2ème trimestre 2006 (par rapport au 2ème trimestre 2005)
+ Produit net bancaire 4 171 millions d'euros (+ 20,5 %)
+ Coefficient d'exploitation 59,8% (- 5,3 pts)
+ Résultat net part du Groupe 1 284 millions d'euros (+ 33,8 %)

Le résultat net part du Groupe de Crédit Agricole S.A. s'élève pour le premier semestre 2006 à 2 669 millions d'euros, en hausse de 43,1 % sur celui de la même période de 2005. Ce résultat, obtenu dans un environnement globalement porteur, traduit une croissance vigoureuse de l'activité dans tous les métiers, une efficacité opérationnelle renforcée et une vive amélioration de la rentabilité. Le résultat brut d'exploitation s'élève à 3 177 millions d'euros, en progression de 42,4 % par rapport à celui du premier semestre 2005. Cette forte hausse provient :
- d'une croissance du produit net bancaire de 22,0 % à 8 166 millions d'euros, tirée par le très bon niveau d'activité de tous les métiers, et plus particulièrement de la banque de financement et d'investissement et des métiers de gestion d'actifs et d'assurances.
- d'une bonne maîtrise des frais de gestion dans le contexte de fort développement de l'activité et de poursuite des investissements. Les charges s'établissent à 4 989 millions d'euros, en augmentation de 11,8% sur celles du premier semestre 2005.
En conséquence, le coefficient d'exploitation s'établit à 61,1 %, en forte amélioration (-5,6 points) sur un an. Le coût du risque (-295 millions d'euros) reste à un niveau faible (25 points de base des engagements pondérés), dans un environnement toujours favorable.La contribution des sociétés mises en équivalence atteint 888 millions d'euros au premier semestre 2006. Cette contribution s'accroît de 20,3 % sur un an, notamment en raison des performances de Banca Intesa (+21,7 %) et de la prise en compte au premier trimestre 2006 du résultat définitif de l'exercice 2005, exceptionnellement élevé, d'Eurazeo (70 millions d'euros). Le résultat net part du Groupe atteint 2 669 millions d'euros (+43,1 %) conduisant à un ROE annualisé de 19,0 % (contre 15,9 % au premier semestre 2005 et 15,8 % sur l'exercice 2005 hors coûts liés au rapprochement).Au second trimestre 2006, la croissance toujours très soutenue de l'activité de l'ensemble des métiers s'est poursuivie avec un produit net bancaire record (+4,4 % par rapport à celui du premier trimestre 2006 déjà exceptionnellement élevé et +20,5 % par rapport au deuxième trimestre 2005).Les charges d'exploitation, toujours bien maîtrisées, progressent près de deux fois moins vite (+10,7 % par rapport au 2ème trimestre 2005) que les revenus. Bénéficiant de ces évolutions favorables, le résultat brut d'exploitation est en hausse de 38,8 % sur celui du deuxième trimestre 2005 et de 11,5 % sur celui du premier trimestre 2006.Le coefficient d'exploitation s'améliore ainsi vivement pour descendre au niveau historiquement bas de 59,8 %. Le coût du risque reste faible (28 points de base des engagements pondérés).Le résultat net part du Groupe ressort à 1 284 millions d'euros, en hausse de 33,8 % sur celui du deuxième trimestre 2005.
Le communiqué dans son intégralité est disponible sur http://www.companynewsgroup.com© CompanynewsGroup

CREDIT AGRICOLE repense sa position stratégique en Italie

Crédit Agricole a fait savoir lors d'une conférence de presse qui s'est tenue hier au Caire que sa priorité actuelle était de redéfinir sa stratégie en Italie, suite au rapprochement de SanPaolo IMI et de Banca Intesa, dont il est le premier actionnaire avec 18% du capital. L'établissement bancaire tricolore a en outre rappelé qu'il a donné son accord de principe au projet de fusion mais qu'il conserve "un droit de veto" selon les termes de Jean-Frédéric de Leusse, directeur du développement international, rapporte "Les Echos". Selon "Le Figaro", la redéfinition des positions de Crédit Agricole en Italie porte aujourd'hui sur ses partenariats avec Banca Intesa dans les domaines du crédit à la consommation et plus particulièrement de la gestion d'actifs puisque Crédit Agricole possède 65% de Nextra, la filiale commune aux deux banques dans la gestion d'actifs.
BOURSORAMA (AOF le 05/09/2006 11h11 )

Credit Agricole: approuve le projet de fusion entre Intesa et San Paolo


Crédit Agricole annonce aujourd’hui qu’il a approuvé, lors de la réunion du pacte d’actionnaires d’Intesa, les grandes lignes du projet de fusion entre Intesa et San Paolo IMI.L’approbation par le Crédit Agricole du projet définitif sera subordonnée à la conclusion d’un accord qui sauvegarde et valorise les intérêts stratégiques du Crédit Agricole en Italie, dans le cadre de la création de la nouvelle entité.Cette position a été communiquée au pacte d’actionnaires qui en a pris acte et a souhaité que soient recherchées les solutions les plus appropriées.
ZONEBOURSE 28/08/2006 10:21:33